58 ans de violations générales et systématique des Droits Humains au nom du « contrôle des drogues »

Droit à un Recours et à Réparation pour les Victimes de Violations systématiques du Droit International des Droits Humains

Contribution du think & do tank FAAAT au rapport du Haut Commissaire aux Droits Humains, à l’occassion de la 39ème session du Conseil des Droits de l’Homme, suite à la résolution CDH 37/42.

Kenzi Riboulet Zemouli et Farid Ghehiouèche
Mai 2018.

Depuis 2018, lees organes des Nations Unies en charge des Droits Humains augmentent leur présence dans les discussions internationales relatives aux politiques des drogues.

C’est à cette occassion que le Haut Commissaire a donné l’opportunité à la société civile de fournir des contributions. FAAAT think & do tank a soumis la contribution ci-dessous.

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Dans l’introduction de son Engagement commun à aborder et combattre efficacement le problème mondial des drogues,la 30ème session extraordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies (SEAGNU 2016) appelle à la « promouvoir la protection et le respect des droits fondamentaux et de la dignité de tous les individus dans le cadre des programmes, stratégies et politiques ayant trait à la drogue ».

Comme le mettent en lumière les nombreuses contributions qu’a reçues le Haut-Commissaire de la part d’ONGs du monde entier, la ratification dans de nombreux pays des trois Conventions internationales relatives au contrôle des drogues a entraîné l’augmentation et la généralisation des violations d’un grand nombre de droits fondamentaux. Ces violations graves et systématisées rendent applicable ledit Droit à un recours et à réparation des victimes de violations flagrantes du droit international des droits de l’homme et de violations graves du droit international humanitaire, tel que proclamé par l’Assemblée Générale de l’ONUen 2005.

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